Nous vous avions annoncé la fin avérée de la très ancienne Volga, marque automobile russe propriété de GAZ après que les négociations portant sur une poursuite de la joint-venture avec Fiat aient capoté. Le fleuve tari reprend vie puisque Maxim Avdeyev, le boss de la compagnie, vient de relancer le coeur de Volga. "Le marché a besoin de ces autos et nous allons les lui donner". C'est un joli revirement de situation effectué sous la pression des revendeurs assaillis par les demandes. Un nouveau partenariat à l'étude explique également la volte face.
Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)
Nous vous avions annoncé la fin avérée de la très ancienne Volga, marque automobile russe propriété de GAZ après que les négociations portant sur une poursuite de la joint-venture avec Fiat aient capoté. Le fleuve tari reprend vie puisque Maxim Avdeyev, le boss de la compagnie, vient de relancer le coeur de Volga. "Le marché a besoin de ces autos et nous allons les lui donner". C'est un joli revirement de situation effectué sous la pression des revendeurs assaillis par les demandes. Un nouveau partenariat à l'étude explique également la volte face.
Le boss de Volga entend améliorer son produit et avoue être en contact avec Daimler-Chrysler pour obtenir quelques uns de ses moteurs diesel. Des coopérations avec des constructeurs étrangers certainement alléchés par les prévisions de vente de Dacia sont aussi en cours de négociation afin de développer de nouveaux modèles.
La prévision pour 2006 est de maintenir la cadence 2005, soit 50.000 autos produites.
Nous vous avions annoncé la fin avérée de la très ancienne Volga, marque automobile russe propriété de GAZ après que les négociations portant sur une poursuite de la joint-venture avec Fiat aient capoté. Le fleuve tari reprend vie puisque Maxim Avdeyev, le boss de la compagnie, vient de relancer le coeur de Volga. "Le marché a besoin de ces autos et nous allons les lui donner". C'est un joli revirement de situation effectué sous la pression des revendeurs assaillis par les demandes. Un nouveau partenariat à l'étude explique également la volte face.