La Suède serait-elle propice aux supercars ? Après la Koenigsegg, voici venir une autre machine à faire fondre la glace par échauffement de l'air ambiant à haute vitesse, la Quercianella, par un nouveau constructeur du cru à la raison sociale plus latine que scandinave, Laboratorio Bebi. L'idée de base, telle qu'exposée sur le site web, est de greffer un moteur à la fiche technique typique de ce qu'on trouve dans les supercars italiennes ou germaniques, à savoir un V8 de 525 cv, dans un châssis à l'anglaise, un roadster à moteur central arrière ultra léger. Le résultat, 525 cv pour 525 kg, devrait faire très mal: 0 à 100 km/h en 3 secondes et 300 km/h a minima.
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La Suède serait-elle propice aux supercars ? Après la Koenigsegg, voici venir une autre machine à faire fondre la glace par échauffement de l'air ambiant à haute vitesse, la Quercianella, par un nouveau constructeur du cru à la raison sociale plus latine que scandinave, Laboratorio Bebi. L'idée de base, telle qu'exposée sur le site web, est de greffer un moteur à la fiche technique typique de ce qu'on trouve dans les supercars italiennes ou germaniques, à savoir un V8 de 525 cv, dans un châssis à l'anglaise, un roadster à moteur central arrière ultra léger. Le résultat, 525 cv pour 525 kg, devrait faire très mal: 0 à 100 km/h en 3 secondes et 300 km/h a minima.
La Quercianella doit son nom à l'histoire très particulière du projet, racontée sous forme d'épopée par le fondateur de Bebi Clas Müller. Il s'agit du village de Toscane où réside Giotto Bizzarrini, une des légendes vivantes de l'automobile italienne. Bizzarrini a un CV fantastique: responsable de la Testa Rossa puis de la 250 GTO chez Ferrari, avant de partir sur un clash légendaire avec l'Ingeniere, il développe l'ISO pour Renzo Rivolta, puis un V12 pour Ferrucio Lamborghini avec qui il se fâche également avant de fonder sa propre marque qui donnera entre autres la célèbre Bizzarrini 5300. Lorsque Müller rend une visite de courtoisie à Bizzarrini en 1997, la conversation passe vite des souvenirs vers le projet du Suédois. Le naturel de l'ingénieur italien reprend le dessus, et il jette les bases du roadster qui deviendra la Quercianella. S'en suit une collaboration suivie que freinent à peine les difficultés de communication entre les deux hommes. Les Suédois volent depuis de leurs propres ailes mais le nom de la voiture rend hommage au patronage de Bizzarrini. C'est la moindre des choses.
Pour l'instant, la voiture n'existe que sous forme de représentation 3D et d'un châssis en cours d'assemblage, mais le cours des choses jusqu'à présent laisse à penser que l'on a affaire à des gens aussi passionnés que déterminés. A vérifier, si tout va bien, d'ici la fin 2006.
La Suède serait-elle propice aux supercars ? Après la Koenigsegg, voici venir une autre machine à faire fondre la glace par échauffement de l'air ambiant à haute vitesse, la Quercianella, par un nouveau constructeur du cru à la raison sociale plus latine que scandinave, Laboratorio Bebi. L'idée de base, telle qu'exposée sur le site web, est de greffer un moteur à la fiche technique typique de ce qu'on trouve dans les supercars italiennes ou germaniques, à savoir un V8 de 525 cv, dans un châssis à l'anglaise, un roadster à moteur central arrière ultra léger. Le résultat, 525 cv pour 525 kg, devrait faire très mal: 0 à 100 km/h en 3 secondes et 300 km/h a minima.