De la fin des années 1970 à l'aube de l'an 2000, deux blasons tricolores faisaient autorité sur la scène mondiale et assuraient une présence efficiente du sport automobile français sur les circuits les plus prestigieux. Des pilotes, et non des moindres, ont usé leur fond de combinaison dans les baquets de leurs créations, écrivant les plus belles pages de leur palmarès. Ces deux glorieuses entités, rejetées de la lumière à l'ombre, ont décidé de faire cause commune pour continuer d'exister. Honneur à LIGIER et MARTINI.
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De la fin des années 1970 à l'aube de l'an 2000, deux blasons tricolores faisaient autorité sur la scène mondiale et assuraient une présence efficiente du sport automobile français sur les circuits les plus prestigieux. Des pilotes, et non des moindres, ont usé leur fond de combinaison dans les baquets de leurs créations, écrivant les plus belles pages de leur palmarès. Ces deux glorieuses entités, rejetées de la lumière à l'ombre, ont décidé de faire cause commune pour continuer d'exister. Honneur à LIGIER et MARTINI.
Les monoplaces MARTINI concoctées par le Maître Tico, c'est une série de "Mk" qui ont semé la terreur et la désolation dans les rangs de la concurrence anglo-saxonne sur les tourniquets de tous les continents. LIGIER, ce sont les redoutables "JS" qui ont entretenu longtemps l'espoir d'un titre en bleu, les belles JS 11/15 couvées par un certain Gérard DUCAROUGE en étant les souvenirs les plus ardents.
Que reste-t-il de tout cela? L'essentiel, la passion, l'acharnement, la compétence. LIGIER et MARTINI font à présent cause commune et ont mis sur roue un prototype, la JS 49. Finies les ambitions mondiales, voilà un produit destiné à l'amateur éclairé qui, pour 90 000 euros évoluera dans une véritable voiture de course pour ses aventures en groupe CN, pour s'égayer en course de côte, dans les épreuves de la Coupe de France des circuits, ou en endurance et sprint moderne montés par la dynamique équipe d'Eric Van de Vyver.
Monocoque alu, suspensions à triangles superposés et poussoirs, amortisseurs réglables, boite SADEV six rapports séquentiels, moteur HONDA 4 cylindres de la Civic type R porté à 240 ch, le tout pour 535 kg.
Une oeuvre simple, robuste, polyvalente, performante et particulièrement sécurisante. Comme ses prestigieuses aînées. Merci, Monsieur Guy, de perpétuer la Légende.
De la fin des années 1970 à l'aube de l'an 2000, deux blasons tricolores faisaient autorité sur la scène mondiale et assuraient une présence efficiente du sport automobile français sur les circuits les plus prestigieux. Des pilotes, et non des moindres, ont usé leur fond de combinaison dans les baquets de leurs créations, écrivant les plus belles pages de leur palmarès. Ces deux glorieuses entités, rejetées de la lumière à l'ombre, ont décidé de faire cause commune pour continuer d'exister. Honneur à LIGIER et MARTINI.