AUDI a donc confirmé son engagement en DTM, et son pilote phare, EKSTRÖM, par la même occasion jusqu'en 2008. La marque sauve ainsi, après moultes tergiversations, la série d'une mort certaine. Les anneaux n'ont sans doute pas voulu endosser le rôle du bourreau d'une discipline qui n'en a pas moins sa tête sur le billot. Car il ne sert à rien de sonner hautbois et résonner musettes en cette période de fête après cet épilogue. Les nuages noirs s'amoncellent bien au-dessus du chapiteau diapré du DTM...
Zapping Le Blogauto Essai de la Honda CRV, PHev 2024
AUDI a donc confirmé son engagement en DTM, et son pilote phare, EKSTRÖM, par la même occasion jusqu'en 2008. La marque sauve ainsi, après moultes tergiversations, la série d'une mort certaine. Les anneaux n'ont sans doute pas voulu endosser le rôle du bourreau d'une discipline qui n'en a pas moins sa tête sur le billot. Car il ne sert à rien de sonner hautbois et résonner musettes en cette période de fête après cet épilogue. Les nuages noirs s'amoncellent bien au-dessus du chapiteau diapré du DTM...
D'abord, AUDI repart en chasse avec 8 pilotes, soit 2 de moins que le précédent exercice. Quant au plateau pilotes, il est certes présentable, mais une diffuse impression de recherche de portes de sortie ou de pré-retraite exsudent de ces acteurs. Ainsi, MERCEDES a d'ores et déjà placé PAFETT sur l'orbite de la planète F.1, offrant à WURZ un strapontin de fin de carrière, tandis qu'EKSTRÖM continuera à s'initier en 2006 aux joies du WRC avec SKODA. Travailler pour le même groupe sous la bannière du même sponsor, ouvre de larges horizons.
Côté calendrier, rien n'est encore figé. Sur 12 épreuves espérées, pas moins de 5 sont toujours en discussion (dont celle du MANS d'octobre 2006) et 1 (ISTANBUL) est encore à confirmer. Une paille !
Il faudra une saison 2006 vraiment exceptionnelle pour pérenniser une série dont les fondations n'ont jamais été aussi fragiles...
AUDI a donc confirmé son engagement en DTM, et son pilote phare, EKSTRÖM, par la même occasion jusqu'en 2008. La marque sauve ainsi, après moultes tergiversations, la série d'une mort certaine. Les anneaux n'ont sans doute pas voulu endosser le rôle du bourreau d'une discipline qui n'en a pas moins sa tête sur le billot. Car il ne sert à rien de sonner hautbois et résonner musettes en cette période de fête après cet épilogue. Les nuages noirs s'amoncellent bien au-dessus du chapiteau diapré du DTM...
