De l'influence (néfaste ?) de la publicité sur le conducteur
Les assureurs, faisant un des métiers les moins sexy de la création, doivent faire preuve d'imagination pour trouver l'angle de communication qui leur vaudra les gros titres. Et ils le trouvent parfois. Ainsi Privilege Insurance, un assureur britannique, vient de publier les résultats d'une étude qui souligne les dangers de l'influence de la publicité par voie d'affiche sur les conducteurs. Jusque là, le sujet est ennuyeux comme la pluie, je vous l'accorde, encore un tout petit peu de patience.
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Les assureurs, faisant un des métiers les moins sexy de la création, doivent faire preuve d'imagination pour trouver l'angle de communication qui leur vaudra les gros titres. Et ils le trouvent parfois. Ainsi Privilege Insurance, un assureur britannique, vient de publier les résultats d'une étude qui souligne les dangers de l'influence de la publicité par voie d'affiche sur les conducteurs. Jusque là, le sujet est ennuyeux comme la pluie, je vous l'accorde, encore un tout petit peu de patience.
Les auteurs de l'étude, donc, révèlent que un cinquième des conducteurs interrogés avouent avoir fait un écart de conduite - au sens propre du terme - à la vue d'une affiche présentant un sujet de sexe féminin légèrement vêtu. Voilà l'info qui va faire la une et nous donne une excuse pour passer une photo... sémillante de plus pour illustrer cet artifice publicitaire classique. La vraie question est bien entendu de savoir pourquoi les 80% restants n'ont pas réagi. Troubles de la vue, téléphone portable, oeil cherchant le prochain radar, l'étude ne le dit pas. A noter que seulement une conductrice sur dix se déclare perturbée par un apollon en petite tenue sur panneau publicitaire. Cette capacité à garder son sang-froid vous honore mesdames. Et les chercheurs de déjà s'interroger sur le besoin de mieux contrôler les abords des routes. Automobilistes anglais, oubliez la régulation automatique de vitesse, voilà une cause à rallier beaucoup plus pressante.
Les résultats seraient-ils équivalents en France? Je laisse la question ouverte au débat.
Les assureurs, faisant un des métiers les moins sexy de la création, doivent faire preuve d'imagination pour trouver l'angle de communication qui leur vaudra les gros titres. Et ils le trouvent parfois. Ainsi Privilege Insurance, un assureur britannique, vient de publier les résultats d'une étude qui souligne les dangers de l'influence de la publicité par voie d'affiche sur les conducteurs. Jusque là, le sujet est ennuyeux comme la pluie, je vous l'accorde, encore un tout petit peu de patience.