Tokyo 2005 live : EcoRacer, la divine surprise de VW
Après Francfort, le Blog Auto est présent au Salon de Tokyo qui a ouvert ses portes aujourd'hui. C'est à mon tour de limer les kilomètres de moquette sous les millions de kilowatts des sunlights en portant des tonnes de dossiers de presse. Bon, j'exagère. A peine.
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Après Francfort, le Blog Auto est présent au Salon de Tokyo qui a ouvert ses portes aujourd'hui. C'est à mon tour de limer les kilomètres de moquette sous les millions de kilowatts des sunlights en portant des tonnes de dossiers de presse. Bon, j'exagère. A peine.
Commençons par la surprise du chef, chez Volkswagen: l'Eco Racer, un petit roadster fort sympathique, propulsé par un petit moteur turbodiesel 1,5 litre à injection directe avec un appétit d'oiseau de 3,6 l aux 100 km. On reparlera de ce moteur à injection directe qui utilise une technologie similaire à la double suralimentaion développée pour la Golf GT. Les chiffres sont impressionnants: 250Nm de couple, 136 cv, et des performances on ne peut plus décentes: 6,3 s de 0 à 100 et 230 km/h en pointe. La carrosserie en CFP (plastique renforcé au carbone) permet à la voiture de ne pas dépasser les 840 kg.
L'Eco Racer est un coupé/roadster/speedster, selon que l'on mette ou enlève les éléments du toit, comme la Smart Roadster. Le petit truc qui fait la différence, cependant, est la possibilité d'enlever le pare brise et le remplacer par un saute-vent. Du fun ancienne école, et les gens de VW insistent que si il ne s'agit que d'un véhicule de recherche, la voiture est dûment immatriculée et roule et même très bien.
Volkswagen nous démontre que l'automobile plaisir n'est pas condamnée à disparaitre, ce n'est pas vraiment de leur part qu'on l'attendait (vous écoutez, Lotus ?), qu'ils en soient remerciés d'autant plus.
Après Francfort, le Blog Auto est présent au Salon de Tokyo qui a ouvert ses portes aujourd'hui. C'est à mon tour de limer les kilomètres de moquette sous les millions de kilowatts des sunlights en portant des tonnes de dossiers de presse. Bon, j'exagère. A peine.