Bien que produisant des gros 4x4 et autres SUV qu'ils vendent aux Américains et Européens demandeurs, le rêve des pères de famille japonais se matérialise plutôt sous la forme de gros monospaces dont le standard intérieur n'a cessé de monter au cours des dernières années. Nissan est la référence de la catégorie avec l'orgueilleux El Grande, tandis que Toyota avec l'Alphard et Honda avec l'Elysion surenchérissent dans le pompeux pour l'en déloger. Ce n'est pas gagné si l'on considère le concept Amenio présenté par Nissan au Salon de Tokyo. Ce monospace 6 places de près de cinq mètres de long présente un intérieur qui se veut proche d'un jet privé, et un extérieur qui délaisse toute subtilité pour bien faire connaître sa position: c'est moi le boss. Au lieu de trembler de peur en face de la grille avant qui est prête à avaler tout ce qui traîne à proximité et des grosses roues de 20 pouces, on préfèrera s'installer dans un des splendides sièges à réglage électrique qui ne dépareraient pas un living room très tendance. De là, si on ne s'endort pas trop vite on pourra jeter un oeil blasé sur l'extérieur via des surfaces vitrées très généreuses, dont un toit presque complètement en verre. Le commandant de bord, lui, dirigera les opérations via des cadrans ressemblant à des montres de prix, un écran de 18 pouces de diagonale, et un système utilisant des caméras et senseurs autour de la voiture lui permettant d'éliminer les angles morts.
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Bien que produisant des gros 4x4 et autres SUV qu'ils vendent aux Américains et Européens demandeurs, le rêve des pères de famille japonais se matérialise plutôt sous la forme de gros monospaces dont le standard intérieur n'a cessé de monter au cours des dernières années. Nissan est la référence de la catégorie avec l'orgueilleux El Grande, tandis que Toyota avec l'Alphard et Honda avec l'Elysion surenchérissent dans le pompeux pour l'en déloger. Ce n'est pas gagné si l'on considère le concept Amenio présenté par Nissan au Salon de Tokyo. Ce monospace 6 places de près de cinq mètres de long présente un intérieur qui se veut proche d'un jet privé, et un extérieur qui délaisse toute subtilité pour bien faire connaître sa position: c'est moi le boss. Au lieu de trembler de peur en face de la grille avant qui est prête à avaler tout ce qui traîne à proximité et des grosses roues de 20 pouces, on préfèrera s'installer dans un des splendides sièges à réglage électrique qui ne dépareraient pas un living room très tendance. De là, si on ne s'endort pas trop vite on pourra jeter un oeil blasé sur l'extérieur via des surfaces vitrées très généreuses, dont un toit presque complètement en verre. Le commandant de bord, lui, dirigera les opérations via des cadrans ressemblant à des montres de prix, un écran de 18 pouces de diagonale, et un système utilisant des caméras et senseurs autour de la voiture lui permettant d'éliminer les angles morts.
Comme le concept Suzuki P.X, le Nissan Amenio offre une interprétation alternative du luxe automobile. Il reste à voir si cette vision est exportable.
Bien que produisant des gros 4x4 et autres SUV qu'ils vendent aux Américains et Européens demandeurs, le rêve des pères de famille japonais se matérialise plutôt sous la forme de gros monospaces dont le standard intérieur n'a cessé de monter au cours des dernières années. Nissan est la référence de la catégorie avec l'orgueilleux El Grande, tandis que Toyota avec l'Alphard et Honda avec l'Elysion surenchérissent dans le pompeux pour l'en déloger. Ce n'est pas gagné si l'on considère le concept Amenio présenté par Nissan au Salon de Tokyo. Ce monospace 6 places de près de cinq mètres de long présente un intérieur qui se veut proche d'un jet privé, et un extérieur qui délaisse toute subtilité pour bien faire connaître sa position: c'est moi le boss. Au lieu de trembler de peur en face de la grille avant qui est prête à avaler tout ce qui traîne à proximité et des grosses roues de 20 pouces, on préfèrera s'installer dans un des splendides sièges à réglage électrique qui ne dépareraient pas un living room très tendance. De là, si on ne s'endort pas trop vite on pourra jeter un oeil blasé sur l'extérieur via des surfaces vitrées très généreuses, dont un toit presque complètement en verre. Le commandant de bord, lui, dirigera les opérations via des cadrans ressemblant à des montres de prix, un écran de 18 pouces de diagonale, et un système utilisant des caméras et senseurs autour de la voiture lui permettant d'éliminer les angles morts.
