Daihatsu, en compagnie automobile japonaise bien à l'écoute, sait depuis longtemps que la folie Hybride va gagner l'Europe. Merci Toyota. Lorsqu'il a fallu plancher sur un roadster à l'essence sportive, les ingénieurs n'ont pas hésité à lui inséminer une bonne dose de courant. La HVS, pour Hybrid Vehicle Sports, est donc doté d'un 1500 cm3 de 105 ch aidé de rien moins que 3 moteurs électriques. L'ingénieur Daihatsu est fier et son moteur à watts arrière en fait plus pour le même prix. Si à l'avant les 2 moteurs additionnels aide au démarrage et à bas régime, celui de poupe multiplie les fonctions. Il propulse, permettant à la HVS de se revendiquer comme une 4 roues motrices, il gère la puissance sur les 2 roues en fonction de l'adhérence faisant office d'antipatinage et d'ESP et il contrôle le lacet comme pourrait le faire un différentiel piloté. Donc sur le papier, la HVS a tout pour plaire. Stable a haute vitesse, mobile dans le lent, elle ne consomme selon le constructeur que 4.2 l au 100 et avalerait le 400m en moins de 17sec. Reste à savoir si le vert écologiste possède quelques velléites à la conduite sportive.
Zapping Le Blogauto Essai de La Mazda MX30 R-EV
Daihatsu, en compagnie automobile japonaise bien à l'écoute, sait depuis longtemps que la folie Hybride va gagner l'Europe. Merci Toyota. Lorsqu'il a fallu plancher sur un roadster à l'essence sportive, les ingénieurs n'ont pas hésité à lui inséminer une bonne dose de courant. La HVS, pour Hybrid Vehicle Sports, est donc doté d'un 1500 cm3 de 105 ch aidé de rien moins que 3 moteurs électriques. L'ingénieur Daihatsu est fier et son moteur à watts arrière en fait plus pour le même prix. Si à l'avant les 2 moteurs additionnels aide au démarrage et à bas régime, celui de poupe multiplie les fonctions. Il propulse, permettant à la HVS de se revendiquer comme une 4 roues motrices, il gère la puissance sur les 2 roues en fonction de l'adhérence faisant office d'antipatinage et d'ESP et il contrôle le lacet comme pourrait le faire un différentiel piloté. Donc sur le papier, la HVS a tout pour plaire. Stable a haute vitesse, mobile dans le lent, elle ne consomme selon le constructeur que 4.2 l au 100 et avalerait le 400m en moins de 17sec. Reste à savoir si le vert écologiste possède quelques velléites à la conduite sportive.
Daihatsu, en compagnie automobile japonaise bien à l'écoute, sait depuis longtemps que la folie Hybride va gagner l'Europe. Merci Toyota. Lorsqu'il a fallu plancher sur un roadster à l'essence sportive, les ingénieurs n'ont pas hésité à lui inséminer une bonne dose de courant. La HVS, pour Hybrid Vehicle Sports, est donc doté d'un 1500 cm3 de 105 ch aidé de rien moins que 3 moteurs électriques. L'ingénieur Daihatsu est fier et son moteur à watts arrière en fait plus pour le même prix. Si à l'avant les 2 moteurs additionnels aide au démarrage et à bas régime, celui de poupe multiplie les fonctions. Il propulse, permettant à la HVS de se revendiquer comme une 4 roues motrices, il gère la puissance sur les 2 roues en fonction de l'adhérence faisant office d'antipatinage et d'ESP et il contrôle le lacet comme pourrait le faire un différentiel piloté. Donc sur le papier, la HVS a tout pour plaire. Stable a haute vitesse, mobile dans le lent, elle ne consomme selon le constructeur que 4.2 l au 100 et avalerait le 400m en moins de 17sec. Reste à savoir si le vert écologiste possède quelques velléites à la conduite sportive.