En attendant le tout électrique, il va falloir vivre encore un bout de temps avec le bon vieux moteur à combustion interne, et tant les universités que les industriels cherchent à améliorer le principe. General Motors, Bosch et l'université de Stanford viennent ainsi d'annoncer une collaboration pour le développement du moteur HCCI (Homogeneous Charge Compression Ignition, allumage par compression à charge homogène): le carburant est mélangé de façon très homogène avec l'air dans la chambre de combustion, et le mélange est chauffé pendant la compression lors de la remontée du piston, conduisant à un auto-allumage. Selon GM, ce type de combustion pourrait augmenter le rendement des moteurs essence de 20%, et diminuer de manière drastique les émissions de particules et de NOx. Outre les bénéfices directs de cette technologie, son grand intérêt est qu'elle peut être appliquée pour tous types de carburants, et en complément d'un système hybride. Tout pour plaire, quoi. La réussite du système dépend de la qualité de l'injection et du contrôle précis des conditions de la combustion, ce qui explique que ce principe connu depuis longtemps n'était pas maîtrisé jusqu'à maintenant. Les partenaires s'engagent pour l'instant sur un programme de trois ans et 2,5 millions de dollars, ce qui n'est pas excessif si le résultat espéré est au bout.
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En attendant le tout électrique, il va falloir vivre encore un bout de temps avec le bon vieux moteur à combustion interne, et tant les universités que les industriels cherchent à améliorer le principe. General Motors, Bosch et l'université de Stanford viennent ainsi d'annoncer une collaboration pour le développement du moteur HCCI (Homogeneous Charge Compression Ignition, allumage par compression à charge homogène): le carburant est mélangé de façon très homogène avec l'air dans la chambre de combustion, et le mélange est chauffé pendant la compression lors de la remontée du piston, conduisant à un auto-allumage. Selon GM, ce type de combustion pourrait augmenter le rendement des moteurs essence de 20%, et diminuer de manière drastique les émissions de particules et de NOx. Outre les bénéfices directs de cette technologie, son grand intérêt est qu'elle peut être appliquée pour tous types de carburants, et en complément d'un système hybride. Tout pour plaire, quoi. La réussite du système dépend de la qualité de l'injection et du contrôle précis des conditions de la combustion, ce qui explique que ce principe connu depuis longtemps n'était pas maîtrisé jusqu'à maintenant. Les partenaires s'engagent pour l'instant sur un programme de trois ans et 2,5 millions de dollars, ce qui n'est pas excessif si le résultat espéré est au bout.
En attendant le tout électrique, il va falloir vivre encore un bout de temps avec le bon vieux moteur à combustion interne, et tant les universités que les industriels cherchent à améliorer le principe. General Motors, Bosch et l'université de Stanford viennent ainsi d'annoncer une collaboration pour le développement du moteur HCCI (Homogeneous Charge Compression Ignition, allumage par compression à charge homogène): le carburant est mélangé de façon très homogène avec l'air dans la chambre de combustion, et le mélange est chauffé pendant la compression lors de la remontée du piston, conduisant à un auto-allumage. Selon GM, ce type de combustion pourrait augmenter le rendement des moteurs essence de 20%, et diminuer de manière drastique les émissions de particules et de NOx. Outre les bénéfices directs de cette technologie, son grand intérêt est qu'elle peut être appliquée pour tous types de carburants, et en complément d'un système hybride. Tout pour plaire, quoi. La réussite du système dépend de la qualité de l'injection et du contrôle précis des conditions de la combustion, ce qui explique que ce principe connu depuis longtemps n'était pas maîtrisé jusqu'à maintenant. Les partenaires s'engagent pour l'instant sur un programme de trois ans et 2,5 millions de dollars, ce qui n'est pas excessif si le résultat espéré est au bout.