Suite à la réunion du Sénat de la FIA ce jour, un communiqué aux vertues apaisantes a été édicté. Les membres de la vénérable institution (dont fait partie le président de la FIA Max Mosley), ordonnent aux membres du Conseil Mondial d'annuler purement et simplement la menace de sanction du 14 Septembre pesant sur les écuries de F1 n'ayant pas pris part au GP d'Indianapolis. Selon eux, les équipes ne peuvent être tenues responsable d'aucuns manquements puisqu'elles se sont conformées aux recommandations de leur manufacturier. Ces directives de Michelin mettant en cause la sécurité de leurs monoplaces, aucune sanction ne peut planer sur la tête des écuries accusées dans un premier temps par Max Mosley. Dans cette affaire, Michelin se retrouve bien seul et son avenir en F1 s'assombrit même si certains contrats courrent jusqu'en 2006/2007. En invoquant ce manque de sécurité, la FIA va certainement procéder à l'établissement du manufacturier unique dès 2006, comme le souhaite certaines écuries et non des moindres.
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Suite à la réunion du Sénat de la FIA ce jour, un communiqué aux vertues apaisantes a été édicté. Les membres de la vénérable institution (dont fait partie le président de la FIA Max Mosley), ordonnent aux membres du Conseil Mondial d'annuler purement et simplement la menace de sanction du 14 Septembre pesant sur les écuries de F1 n'ayant pas pris part au GP d'Indianapolis. Selon eux, les équipes ne peuvent être tenues responsable d'aucuns manquements puisqu'elles se sont conformées aux recommandations de leur manufacturier. Ces directives de Michelin mettant en cause la sécurité de leurs monoplaces, aucune sanction ne peut planer sur la tête des écuries accusées dans un premier temps par Max Mosley. Dans cette affaire, Michelin se retrouve bien seul et son avenir en F1 s'assombrit même si certains contrats courrent jusqu'en 2006/2007. En invoquant ce manque de sécurité, la FIA va certainement procéder à l'établissement du manufacturier unique dès 2006, comme le souhaite certaines écuries et non des moindres.
Par contre la clémence envers les teams relèvent de deux stratégies possibles: - Les manoeuvres visant à creer un championnat parallèle et à "destituer" Max Mosley ont pris un tour accéléré ses derniers jours.Le Senat qui avait fait revenir Mosley sur sa décision de démissioner à l'intersaison joue peut être l'apaisement pour sauver les structures actuelles de la FIA. Les propositions de Mosley pour 2008 vont aussi dans ce sens. - On peut se demander si le Senat avec Michel Boeri à sa tête ne vient pas d'entrer dans le jeu des Constructeurs qui cherchent à évincer Mosley de la direction de la FIA. En contre-disant l'attaque, assez personnelle, de ce dernier envers les teams de F1, ils le mettent en minorité et lui montre la porte de sortie avant les prochaines élections. Si le vote du Senat requiert la majorité absolue, et donc celle de Mosley, le vote du président du Senat a le pouvoir de débloquer la situation. Quoiqu'il en soit le temps est de toutes façons à l'apaisement puisque même le GPDA (association des pilotes) n'a pas demandé à son chef de file de demissioner comme il était convenu de le faire durant le GP de Silverstone.
Suite à la réunion du Sénat de la FIA ce jour, un communiqué aux vertues apaisantes a été édicté. Les membres de la vénérable institution (dont fait partie le président de la FIA Max Mosley), ordonnent aux membres du Conseil Mondial d'annuler purement et simplement la menace de sanction du 14 Septembre pesant sur les écuries de F1 n'ayant pas pris part au GP d'Indianapolis. Selon eux, les équipes ne peuvent être tenues responsable d'aucuns manquements puisqu'elles se sont conformées aux recommandations de leur manufacturier. Ces directives de Michelin mettant en cause la sécurité de leurs monoplaces, aucune sanction ne peut planer sur la tête des écuries accusées dans un premier temps par Max Mosley. Dans cette affaire, Michelin se retrouve bien seul et son avenir en F1 s'assombrit même si certains contrats courrent jusqu'en 2006/2007. En invoquant ce manque de sécurité, la FIA va certainement procéder à l'établissement du manufacturier unique dès 2006, comme le souhaite certaines écuries et non des moindres.
