Ah évidemment, lappellation prête à sourire tant la ficelle est grosse. Mais après tout, tous les moyens sont bons pour promouvoir une voiture à la carrière commerciale ratée, surtout quand ça ne coûte pas cher. Pourtant, cette Stilo JTD 140 Schumacher vaut la peine que lon passe outre son nom et sa couleur tapageurs. Ne serait-ce que par son moteur, un vigoureux 1.9 turbo-diesel common-rail doté de la technologie Multijet que l'on retrouve chez Alfa Romeo et Opel avec 10CV de plus.. Quelle santé ! Ce bloc pousse fort (80/120 en 6.1 en 3è), prend les tours avec entrain, conserve une belle souplesse et se révèle très économique. Il faut dire que la boîte 6, maniable mais imparfaitement guidée, se révèle très bien étagée. Question châssis, autant la 2.4 Abarth mavait déçu par la faute dun amortissement défaillant autant celle-ci, dotée de jantes spécifiques de 17, se montre efficace, agréable et sûre. Par ailleurs, il ny a rien à redire sur le freinage, tandis quABS et ESP savèrent très bien calibrés. Je ne mattendais pas à un tel agrément, surtout que lhabitacle offre un niveau de confort et de qualité satisfaisant, même si on natteint pas le niveau dune Citroën C4.
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Ah évidemment, lappellation prête à sourire tant la ficelle est grosse. Mais après tout, tous les moyens sont bons pour promouvoir une voiture à la carrière commerciale ratée, surtout quand ça ne coûte pas cher. Pourtant, cette Stilo JTD 140 Schumacher vaut la peine que lon passe outre son nom et sa couleur tapageurs. Ne serait-ce que par son moteur, un vigoureux 1.9 turbo-diesel common-rail doté de la technologie Multijet que l'on retrouve chez Alfa Romeo et Opel avec 10CV de plus.. Quelle santé ! Ce bloc pousse fort (80/120 en 6.1 en 3è), prend les tours avec entrain, conserve une belle souplesse et se révèle très économique. Il faut dire que la boîte 6, maniable mais imparfaitement guidée, se révèle très bien étagée. Question châssis, autant la 2.4 Abarth mavait déçu par la faute dun amortissement défaillant autant celle-ci, dotée de jantes spécifiques de 17, se montre efficace, agréable et sûre. Par ailleurs, il ny a rien à redire sur le freinage, tandis quABS et ESP savèrent très bien calibrés. Je ne mattendais pas à un tel agrément, surtout que lhabitacle offre un niveau de confort et de qualité satisfaisant, même si on natteint pas le niveau dune Citroën C4.
De plus, lhabitabilité reste parmi les meilleures, et le toit ouvrant panoramique à lamelles de verre (de série) reste unique en son genre. Léquipement nest donc pas en reste, puisqu'en outre, sans supplément, on dispose de la clim automatique bizone, du régulateur de vitesse ou du système hi fi de 260W avec caisson de basses. Un bémol toutefois : le bruit du moteur reste très présent, plus que dans une Panda JTD, il est vrai fort bien isolée. Finalement, avec toutes ces qualités, pourquoi la Stilo na-t-elle pas rencontré son public ? Sûrement à cause de la ligne de la 5 portes, affligeante de banalité, dun lancement malencontreux le 11 septembre 2001, dun positionnement tarifaire trop ambitieux et dun manque certain dévolutions techniques ou esthétiques durant sa carrière. La version essayée corrige certains de ces handicaps : la 3 portes me parait très agréable à lil, le JTD 140 est au top (y compris question fiabilité) et le prix de 23800 semble raisonnable au vu des prestations. Une Peugeot 307 HDI 136 coûte 2000 de plus à équipement équivalent. Enfin, pour ceux qui seraient allergiques au nom et à la couleur pétante, cette Stilo est aussi disponible en version Emotion pour 21540, mais sans le toit ouvrant ni les roues de 17 ni le kit carrosserie.
Ah évidemment, lappellation prête à sourire tant la ficelle est grosse. Mais après tout, tous les moyens sont bons pour promouvoir une voiture à la carrière commerciale ratée, surtout quand ça ne coûte pas cher. Pourtant, cette Stilo JTD 140 Schumacher vaut la peine que lon passe outre son nom et sa couleur tapageurs. Ne serait-ce que par son moteur, un vigoureux 1.9 turbo-diesel common-rail doté de la technologie Multijet que l'on retrouve chez Alfa Romeo et Opel avec 10CV de plus.. Quelle santé ! Ce bloc pousse fort (80/120 en 6.1 en 3è), prend les tours avec entrain, conserve une belle souplesse et se révèle très économique. Il faut dire que la boîte 6, maniable mais imparfaitement guidée, se révèle très bien étagée. Question châssis, autant la 2.4 Abarth mavait déçu par la faute dun amortissement défaillant autant celle-ci, dotée de jantes spécifiques de 17, se montre efficace, agréable et sûre. Par ailleurs, il ny a rien à redire sur le freinage, tandis quABS et ESP savèrent très bien calibrés. Je ne mattendais pas à un tel agrément, surtout que lhabitacle offre un niveau de confort et de qualité satisfaisant, même si on natteint pas le niveau dune Citroën C4.