Après un Grand Prix aussi animé que celui de Monaco, la prestation de Jacques Villeneuve peut paraître anodine. Pas pour lui ni pour Peter Sauber avec lequel il entretient depuis le début des relations plus que houleuses, à tel point que l'on a pu le croire sur le départ à plusieurs reprises. Des déclarations à l'emporte pièce sur la vitesse de sa monoplace et l'ennui qu'il éprouvait à son volant n'étaient pas du goût de son patron, qui voyait le moins médiatique Felipe Massa pulvériser les temps de l'ex champion du monde. Bref, le calme était revenu et on pouvait constater de meilleures performances, notamment à Monaco où le duo caracolait devant les frères Schumacher et Rubens Barichello... sauf que Villeneuve était "encore" derrière Felipe Massa et que doubler à Monaco n'est pas donné à tout le monde. Qu'à cela ne tienne, Villeneuve freine après le panneau "trop tard" dans une attaque digne d'un pilote de zéro (NDLR: avion Japonais kamikaze), bloque les roues et souvire droit dans le mur, manquant de justesse un Massa plus intelligent et appparemment préparé à éviter le missile. Résultat des courses, 5 points de perdus pour Sauber... On peut imaginer une ambiance tendue au sein de l'écurie malgré ses négociations prometteuses avec BMW.
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Après un Grand Prix aussi animé que celui de Monaco, la prestation de Jacques Villeneuve peut paraître anodine. Pas pour lui ni pour Peter Sauber avec lequel il entretient depuis le début des relations plus que houleuses, à tel point que l'on a pu le croire sur le départ à plusieurs reprises. Des déclarations à l'emporte pièce sur la vitesse de sa monoplace et l'ennui qu'il éprouvait à son volant n'étaient pas du goût de son patron, qui voyait le moins médiatique Felipe Massa pulvériser les temps de l'ex champion du monde. Bref, le calme était revenu et on pouvait constater de meilleures performances, notamment à Monaco où le duo caracolait devant les frères Schumacher et Rubens Barichello... sauf que Villeneuve était "encore" derrière Felipe Massa et que doubler à Monaco n'est pas donné à tout le monde. Qu'à cela ne tienne, Villeneuve freine après le panneau "trop tard" dans une attaque digne d'un pilote de zéro (NDLR: avion Japonais kamikaze), bloque les roues et souvire droit dans le mur, manquant de justesse un Massa plus intelligent et appparemment préparé à éviter le missile. Résultat des courses, 5 points de perdus pour Sauber... On peut imaginer une ambiance tendue au sein de l'écurie malgré ses négociations prometteuses avec BMW.
Après un Grand Prix aussi animé que celui de Monaco, la prestation de Jacques Villeneuve peut paraître anodine. Pas pour lui ni pour Peter Sauber avec lequel il entretient depuis le début des relations plus que houleuses, à tel point que l'on a pu le croire sur le départ à plusieurs reprises. Des déclarations à l'emporte pièce sur la vitesse de sa monoplace et l'ennui qu'il éprouvait à son volant n'étaient pas du goût de son patron, qui voyait le moins médiatique Felipe Massa pulvériser les temps de l'ex champion du monde. Bref, le calme était revenu et on pouvait constater de meilleures performances, notamment à Monaco où le duo caracolait devant les frères Schumacher et Rubens Barichello... sauf que Villeneuve était "encore" derrière Felipe Massa et que doubler à Monaco n'est pas donné à tout le monde. Qu'à cela ne tienne, Villeneuve freine après le panneau "trop tard" dans une attaque digne d'un pilote de zéro (NDLR: avion Japonais kamikaze), bloque les roues et souvire droit dans le mur, manquant de justesse un Massa plus intelligent et appparemment préparé à éviter le missile. Résultat des courses, 5 points de perdus pour Sauber... On peut imaginer une ambiance tendue au sein de l'écurie malgré ses négociations prometteuses avec BMW.