par La rédaction

GTR: une simulation de course digne de ce nom?

Une nouvelle simulation de course automobile est là pour titiller nos sens et prolonger devant nos écrans les arsouilles réalisées sur circuit: GTR (ATARI). Autant le dire tout de suite, il est déconseillé de s'attaquer à ce jeu sans un ensemble volant / pédalier tant la sensibilité des commandes est grande. La moindre variation sur les paramètres de configuration de la voiture choisie influe énormément, comme dans la réalité: je vous invite notamment à paramétrer la Lotus Elise sur route mouillée... bonjour les tête-à-queues en série au premier virage ! En effet, si l'on se concentre sur le mode réaliste (les autres sont inutiles à part pour apprendre les trajectoires), il faut rester très, très propre et concentré, accepter des réglages infimes sur la pression des pneus et le calibrage de l'autobloquant, vérifier ses propres réactions grâce au système MOTEC (fourni) et apprendre le circuit comme dans la réalité, la moindre bosse étant fidèlement reproduite et influençant les freinages en appui quant les adversaires se transforment en terreur des circuits... La sensation de vitesse est quant à elle bien rendue, et les passages mythiques à Spa ou Monza en profitent énormément. Au chapitre des (toutes petites) déceptions, citons une IA (intelligence artificielle) parfois limitée (accrochages inutiles), des décors assez pauvres (mais du coup la fluidité en ressort très améliorée), une gestion des dégâts un peu trop "soft", et un nombre de circuits assez limité (10 seulement, même si l'on peut varier les plaisirs en pilotant de nuit). Pour les amateurs, notons la présence d'un mode multijoueur assez réussi, mais peu fourni en compétiteurs pour le moment.

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Une nouvelle simulation de course automobile est là pour titiller nos sens et prolonger devant nos écrans les arsouilles réalisées sur circuit: GTR (ATARI). Autant le dire tout de suite, il est déconseillé de s'attaquer à ce jeu sans un ensemble volant / pédalier tant la sensibilité des commandes est grande. La moindre variation sur les paramètres de configuration de la voiture choisie influe énormément, comme dans la réalité: je vous invite notamment à paramétrer la Lotus Elise sur route mouillée... bonjour les tête-à-queues en série au premier virage ! En effet, si l'on se concentre sur le mode réaliste (les autres sont inutiles à part pour apprendre les trajectoires), il faut rester très, très propre et concentré, accepter des réglages infimes sur la pression des pneus et le calibrage de l'autobloquant, vérifier ses propres réactions grâce au système MOTEC (fourni) et apprendre le circuit comme dans la réalité, la moindre bosse étant fidèlement reproduite et influençant les freinages en appui quant les adversaires se transforment en terreur des circuits... La sensation de vitesse est quant à elle bien rendue, et les passages mythiques à Spa ou Monza en profitent énormément. Au chapitre des (toutes petites) déceptions, citons une IA (intelligence artificielle) parfois limitée (accrochages inutiles), des décors assez pauvres (mais du coup la fluidité en ressort très améliorée), une gestion des dégâts un peu trop "soft", et un nombre de circuits assez limité (10 seulement, même si l'on peut varier les plaisirs en pilotant de nuit). Pour les amateurs, notons la présence d'un mode multijoueur assez réussi, mais peu fourni en compétiteurs pour le moment.

Au total, GTR se présente comme la meilleure simulation réaliste de course automobile possible. Si l'arcade vous tente plus, regardez du côté de la série des TOCA race driver. En revanche, si l'idée d'apprendre par coeur Magny Cours ou Barcelone avant d'aller y faire cirer vos beaux slicks tous neufs "pour de vrai" vous tente, on ne peut que recommander l'achat de GTR.

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Pour résumer

Une nouvelle simulation de course automobile est là pour titiller nos sens et prolonger devant nos écrans les arsouilles réalisées sur circuit: GTR (ATARI). Autant le dire tout de suite, il est déconseillé de s'attaquer à ce jeu sans un ensemble volant / pédalier tant la sensibilité des commandes est grande. La moindre variation sur les paramètres de configuration de la voiture choisie influe énormément, comme dans la réalité: je vous invite notamment à paramétrer la Lotus Elise sur route mouillée... bonjour les tête-à-queues en série au premier virage ! En effet, si l'on se concentre sur le mode réaliste (les autres sont inutiles à part pour apprendre les trajectoires), il faut rester très, très propre et concentré, accepter des réglages infimes sur la pression des pneus et le calibrage de l'autobloquant, vérifier ses propres réactions grâce au système MOTEC (fourni) et apprendre le circuit comme dans la réalité, la moindre bosse étant fidèlement reproduite et influençant les freinages en appui quant les adversaires se transforment en terreur des circuits... La sensation de vitesse est quant à elle bien rendue, et les passages mythiques à Spa ou Monza en profitent énormément. Au chapitre des (toutes petites) déceptions, citons une IA (intelligence artificielle) parfois limitée (accrochages inutiles), des décors assez pauvres (mais du coup la fluidité en ressort très améliorée), une gestion des dégâts un peu trop "soft", et un nombre de circuits assez limité (10 seulement, même si l'on peut varier les plaisirs en pilotant de nuit). Pour les amateurs, notons la présence d'un mode multijoueur assez réussi, mais peu fourni en compétiteurs pour le moment.

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