Un chirurgien plasticien grenoblois aurait, dans l'enthousiasme de la magie de Noël, confondu un radar automatique avec un sapin, certainement dépité de ne pas avoir trouvé son bonheur dans la jardinerie du coin. Ce dernier a été pris en flagrant délit, ganté et cagoulé, en train de vaillamment s'afférer autour du radar avec une scie à métaux. S'apercevant de sa méprise à l'arrivée de la maréchaussée, le chirurgien a pris ses jambes à son cou à travers champs, poursuivi par une horde de gendarmes dans un scénario digne d'un film de Jean Girault avec des dialogues de Michel Audiard. La poursuite s'est finie piteusement au milieu d'un champ avec les chaussures crottées et une cheville brisée. Le médecin avait été dénoncé par plusieurs automobilistes qui l'avaient aperçu lorsqu'il s'attaquait à l'appareil. Remis en liberté, il sera entendu ultérieurement par le tribunal correctionnel.
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Un chirurgien plasticien grenoblois aurait, dans l'enthousiasme de la magie de Noël, confondu un radar automatique avec un sapin, certainement dépité de ne pas avoir trouvé son bonheur dans la jardinerie du coin. Ce dernier a été pris en flagrant délit, ganté et cagoulé, en train de vaillamment s'afférer autour du radar avec une scie à métaux. S'apercevant de sa méprise à l'arrivée de la maréchaussée, le chirurgien a pris ses jambes à son cou à travers champs, poursuivi par une horde de gendarmes dans un scénario digne d'un film de Jean Girault avec des dialogues de Michel Audiard. La poursuite s'est finie piteusement au milieu d'un champ avec les chaussures crottées et une cheville brisée. Le médecin avait été dénoncé par plusieurs automobilistes qui l'avaient aperçu lorsqu'il s'attaquait à l'appareil. Remis en liberté, il sera entendu ultérieurement par le tribunal correctionnel.
Le radar automatique de la rocade de Grenoble, d'une valeur de 75.000 euros, a déjà été l'objet de plusieurs dégradations. Incendié une semaine après sa mise en service, il a fait l'objet de coups de masse, de coups de feu et son objectif est régulièrement enduit de peinture.
Un chirurgien plasticien grenoblois aurait, dans l'enthousiasme de la magie de Noël, confondu un radar automatique avec un sapin, certainement dépité de ne pas avoir trouvé son bonheur dans la jardinerie du coin. Ce dernier a été pris en flagrant délit, ganté et cagoulé, en train de vaillamment s'afférer autour du radar avec une scie à métaux. S'apercevant de sa méprise à l'arrivée de la maréchaussée, le chirurgien a pris ses jambes à son cou à travers champs, poursuivi par une horde de gendarmes dans un scénario digne d'un film de Jean Girault avec des dialogues de Michel Audiard. La poursuite s'est finie piteusement au milieu d'un champ avec les chaussures crottées et une cheville brisée. Le médecin avait été dénoncé par plusieurs automobilistes qui l'avaient aperçu lorsqu'il s'attaquait à l'appareil. Remis en liberté, il sera entendu ultérieurement par le tribunal correctionnel.
