Barabus. Ne pas confondre avec Airbus, ni Brabus, cet autre constructeur européen d'avions. Non, Barabus, c'est une nouvelle supercar, sortie de nulle part pour atterrir au London Motor Show, avec des prétentions pour le moins, euh, prétentieuses: ni plus ni moins que de faire mieux que le summum de la production actuelle, traduisez la Bugatti Veyron. Pour atteindre cet objectif, la Barabus TKR cache sous une coque et une carrosserie en carbone un V8 en aluminium de 6 litres coiffé de deux turbos qui développe un total de 1005 ch. Un chiffre qui fait tomber la mâchoire par terre, tout comme le chrono annoncé pour le 0-60 mph (96 km/h): 1,67 s. Moins long que le temps mis à lire la phrase précédente...
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Barabus. Ne pas confondre avec Airbus, ni Brabus, cet autre constructeur européen d'avions. Non, Barabus, c'est une nouvelle supercar, sortie de nulle part pour atterrir au London Motor Show, avec des prétentions pour le moins, euh, prétentieuses: ni plus ni moins que de faire mieux que le summum de la production actuelle, traduisez la Bugatti Veyron. Pour atteindre cet objectif, la Barabus TKR cache sous une coque et une carrosserie en carbone un V8 en aluminium de 6 litres coiffé de deux turbos qui développe un total de 1005 ch. Un chiffre qui fait tomber la mâchoire par terre, tout comme le chrono annoncé pour le 0-60 mph (96 km/h): 1,67 s. Moins long que le temps mis à lire la phrase précédente...
Par contre, la vitesse maxi, de plus de 320 km/h, respectable, n'est pas très Veyronesque. Production prévue, 300 à 400 exemplaires par an avec moteur anglais et assemblage en Italie, et prix annoncé autour de 530.000 euros, curieusement quasiment identique à celui de la Saleen S7, que la Barabus évoque furieusement. En tout cas une une affaire comparée à la Veyron, mais aussi la Pagani Zonda.
Reste à voir le sérieux de la chose. Même si le développement a pris dix ans comme le prétend le constructeur, dont on ne sait rien, le résultat, un remix pas très heureux de Saleen pour le profil et de Zonda pour la face arrière avec des spécifications de science fiction, n'est pas franchement crédible. A ranger dans le même classeur que l'Arash, celui étiqueté "qui vivra verra".
Barabus. Ne pas confondre avec Airbus, ni Brabus, cet autre constructeur européen d'avions. Non, Barabus, c'est une nouvelle supercar, sortie de nulle part pour atterrir au London Motor Show, avec des prétentions pour le moins, euh, prétentieuses: ni plus ni moins que de faire mieux que le summum de la production actuelle, traduisez la Bugatti Veyron. Pour atteindre cet objectif, la Barabus TKR cache sous une coque et une carrosserie en carbone un V8 en aluminium de 6 litres coiffé de deux turbos qui développe un total de 1005 ch. Un chiffre qui fait tomber la mâchoire par terre, tout comme le chrono annoncé pour le 0-60 mph (96 km/h): 1,67 s. Moins long que le temps mis à lire la phrase précédente...